La Vallée de L’Ouche, Bourgogne

Longueur : 44 km
Difficulté : modérée
Meilleure période pour rouler : de juin à septembre

Votre voyage à vélo en France ne sera pas parfait tant que vous n’avez pas visité l’une de ses plus anciennes régions viticoles. Cet itinéraire champêtre, alternant plaines et montées raides, vous fait traverser la vallée de l’Ouche de Beaune à Châteauneuf au nord, en passant par les petits villages, les fermes et les vallons. Si vous recherchez le vin parfait, il n’y a pas de meilleur endroit que cette région.

La Boucle de Deauville, Normandie

Longueur : 39 km
Difficulté : modérée
Meilleure période pour rouler : de juillet à août

La région historique de Normandie mérite votre temps et votre attention. L’une des magnifiques pistes cyclables est la boucle de Deauville qui parcourt un quartier historique parsemé de structures du XIXe siècle. Commencez votre voyage à Honfleur et continuez autour du port, où se dressent les maisons de style classique. Longez la côte jusqu’à la Commune de Trouville-sur-Mer et descendez jusqu’à l’élégante Deauville. Là, vous pouvez trouver un excellent endroit pour déjeuner et prendre une petite pause.

Le long de la Dordogne, Nouvelle-Aquitaine

Longueur : 73 km
Difficulté : facile
Meilleure période pour rouler : de juin à septembre

Vous pouvez déguster des spécialités locales et pédaler dans cette partie historique de la France. La balade à vélo en elle-même est relativement fluide le long de la Dordogne. Ce circuit est parsemé d’architecture romane. Des arrêts comme Castillon-la-Bataille (site de la bataille finale de la guerre de Cent Ans), Sainte-Foy-la-Grande et Chartreuse du Bignac rendront cette balade encore plus inoubliable.

Comment préparer son voyage au Vatican ?

Il faut assister au discours papal au moins une fois toute votre vie. Pour cela, vous devrez bien vous organiser. A savoir que le Pape ne s’adresse au public que seuls les mercredis et les dimanches. Si vous souhaitez obtenir une bénédiction dominicale, veillez à arriver sur place avant midi, car cet endroit sera bondé. Vous devrez également avoir un ticket pour assister à cet événement tous les mercredis de septembre à juin. Allez sur vatican.va et remplissez un formulaire de demande que vous allez ensuite faxer au numéro indiqué. Informez-vous sur les différentes activités, qu’elles soient gratuites ou payantes. A titre d’information, visiter la chapelle Sixtine et les musées du Vatican vous coûtera à peu près 15 euros. Pensez à réserver votre ticket à l’avance. Pour le Dôme de Saint-Pierre, comptez environ 6 euros. Cela dit, les visites de la place Saint-Pierre et de sa basilique restent gratuites.

Conseils pour réussir votre visite

Pour mieux profiter des musées du Vatican et des attractions, envisagez de réserver un guide officiel. D’ailleurs, seuls ceux qui disposent d’une carte de guide sont autorisés à exercer dans ces lieux aux touristes. Cela dit, le Vatican est particulièrement riche en art et histoire. Vous entendrez bien plus lors de votre visite si vous engagez un guide professionnel. Sinon, il faudra respecter le code vestimentaire pour visiter ce pays. Veillez à ce que vos épaules et vos genoux soient parfaitement couverts. La plupart des gens mettent un pantalon long avec un tee-shirt à manches longues. Autrement, ils se verront refuser l’entrée dans la majorité des sites. Evitez donc les débardeurs, les mini robes et les shorts. Les femmes peuvent porter des collants et utiliser un châle pour mieux se couvrir. En gros, habillez-vous de manière convenable.

La fameuse ville sainte de Jérusalem

Séjourner sur le territoire israélien sans pour autant passer par la ville mondialement célèbre de Jérusalem serait inconcevable ! D’ailleurs, ce n’est vraiment pas anodin si elle est presque systématiquement proposée comme une étape par la grande majorité des agences de voyages. C’est notamment le cas si vous envisagez de réaliser un séjour sur mesure en Israël avec Marco Vasco au Moyen-Orient.

Dans tous les cas, visiter la fameuse ville sainte de Jérusalem vous permettra de découvrir des lieux d’intérêt culturel et historique parmi les plus célèbres au monde. En particulier du côté de la vieille ville de Jérusalem regroupant plusieurs sites des plus sacrés pour diverses religions. À l’exemple du Mur des Lamentations, de l’église du Saint-Sépulcre ainsi que du sanctuaire islamique du Dôme du rocher entre autres.

Le boulevard historique Rothschild à Tel-Aviv

Tout comme la ville sainte de Jérusalem, Tel-Aviv est aussi une autre destination d’intérêt culturel et historique à considérer lors de votre prochain séjour en Israël. En effet, elle abrite également plusieurs endroits d’exception incontournables qui en témoignent. En particulier du côté du fameux boulevard Rothschild situé en plein cœur du quartier financier de la ville. D’abord, il faut savoir que cette artère principale est l’une des plus anciennes rues de Tel-Aviv.

D’autre part, la déclaration d’indépendance de l’État d’Israël a été signée à l’Independence Hall (anciennement maison Dizengoff) situé sur le boulevard Rothschild. En outre, il est certainement difficile de ne pas remarquer les nombreux édifices au style architectural caractéristique Bauhaus le long de cette rue. Justement, n’hésitez surtout pas à l’explorer de long en large afin de comprendre pourquoi Tel-Aviv porte le surnom de la « Ville Blanche ».

La vieille ville de Jaffa, toujours à Tel-Aviv

Comme évoquée précédemment, Tel-Aviv abrite un large choix de sites d’intérêt culturel et historique qui méritent indéniablement une visite. À part le célèbre boulevard Rothschild, cette ville compte également plusieurs musées remarquables qu’il ne faut pas rater. À l’exemple du musée Eretz Israël situé dans le quartier Ramat Aviv et qui est consacré à l’histoire et à l’archéologie. Par ailleurs, la vieille ville de Jaffa autrefois indépendante de Tel-Aviv est pour ainsi dire un véritable musée à ciel ouvert.

À titre d’information, elles ont fusionné vers les années 1950 pour former la ville de Tel-Aviv-Jaffa, mais elle est maintenant plus couramment appelée simplement Tel-Aviv. Quoi qu’il en soit, Jaffa vaut vraiment la peine d’être explorée au cours de votre passage puisqu’elle possède un patrimoine culturel et historique particulièrement riche. Justement, cette vieille ville portuaire est connue dans les histoires bibliques et même dans la mythologie grecque.

Le camping, la formule classique pour séjourner au cœur de la nature

Le camping est sans doute la formule la plus classique et la plus connue pour effectuer un séjour dans la nature. Pour ce faire, vous avez le choix entre camper sur un terrain aménagé ou faire du camping sauvage. S’il s’agit de votre première expérience, la première option est la plus recommandée.

Comme son nom le laisse entendre, le camping sur un terrain aménagé consiste à passer quelques jours et quelques nuits sur un terrain spécialement aménagé qu’on appelle « camping ». Chaque nuitée est payante. Dans les pays comme la France, l’Écosse, l’Italie, les USA, le Canada… la plupart des campings sont équipés de sanitaires, jeux pour enfants, piscines, etc.

Ces prestations permettent d’attribuer des étoiles aux campings, ce qui influe sur leur tarif. Si vous envisagez de faire du camping en France, ou en Amérique avec Prestige Voyages, camper sur un terrain vous permet d’accéder à une eau courante, des douches et WC, et en option à l’électricité. D’une manière générale, le terrain est adapté pour accueillir une tente sur un sol plat.

Si vous êtes de nature plus aventureuse et que vous ne recherchez pas essentiellement du confort, le camping sauvage peut vous séduire. Cela consiste à vous installer sur un terrain sans une réelle autorisation et y rester quelques jours. Vous n’y trouverez donc pas les commodités comme dans un camping sur un terrain aménagé. Si cette forme de camping est interdite en France, vous pourrez le faire dans certains pays comme la Suède, entre autres, à condition de ne pas vous installer sur un terrain privé.

Le bivouac, pour passer la nuit en pleine nature

Le bivouac est un campement rudimentaire qui permet aux voyageurs de passer la nuit en pleine nature. Il est pratiqué au cours de voyages à travers des milieux sauvages ou encore lors d’activité de loisir, telle que la randonnée, escalade, trekking, etc. Tout comme le camping sauvage, le bivouac consiste à dormir sur un terrain qui n’est pas aménagé, à la seule différence qu’il ne dure qu’une seule nuit.

Le bivouac est très lié à une performance physique étant donné que vous devez porter votre matériel afin de pouvoir camper dans des endroits reculés. Outre le matériel, il vous faudra également prévoir de l’eau et des provisions pour toute la durée de votre expédition. Pour un premier bivouac, il est recommandé de commencer par une randonnée sur deux jours avec un dénivelé positif de 300 mètres à 600 mètres par jour. Par ailleurs, le mieux est de vous installer à proximité d’un refuge avec un accès à l’eau courante.

Réaliser un circuit d’île en île en Polynésie française

Comptabilisant plus d’une centaine d’îles qui sont réparties entre plusieurs archipels (de la Société, des Gambier, etc.), vous aurez vraiment l’embarras du choix des points de chute en Polynésie française. À moins de vouloir rester uniquement à Tahiti qui est la principale porte d’entrée de ce département d’outre-mer de la France.

Dans le cas contraire, passer d’une île à une autre est l’une des activités touristiques incontournables à faire dans la mesure du possible. D’ailleurs, plusieurs agences de voyages proposent justement différentes sortes de circuit touristique personnalisable à l’instar de Marco Vasco en Polynésie. Sinon, vous pouvez éventuellement faire un saut à Moorea, l’île sœur de Tahiti qui se trouve à quelques encablures seulement de cette dernière.

Profiter impérativement des plaisirs balnéaires

Vous n’êtes pas sans savoir que la Polynésie française est une destination de vacances balnéaires par excellence. En effet, pratiquement toutes les îles de ses archipels sont dotées d’une pléthore de plages toutes aussi belles les unes que les autres. Sans oublier bien sûr les lagons aux eaux turquoise et cristallines qui les bordent.

Il est pour ainsi dire inconcevable de séjourner sur ces îles polynésiennes sans pour autant en profiter pleinement. Que ce soit pour bronzer au soleil, vous adonner au farniente avec un verre de cocktail de fruits tropicaux à la main, etc. Mais surtout de partir à la découverte des riches fonds marins de la Polynésie française aussi bien en plongée avec bouteille ou en plongée libre (snorkeling).

Savourer au moins une nuit dans un somptueux bungalow sur pilotis

Il existe actuellement à travers le monde quelques destinations balnéaires tropicales mettant en avant la beauté de leurs lagons par l’intermédiaire de leurs bungalows construits sur pilotis. À l’exemple de l’archipel maldivien avec ses fameuses îles-hôtels qui sont justement réputées pour leurs somptueuses villas et bungalows sur pilotis. Pourtant, il est à rappeler que ces constructions inédites sont originaires de la Polynésie française.

Elles sont d’ailleurs emblématiques si bien que ces bungalows sur pilotis figurent parmi les attractions incontournables de cette destination du Pacifique. En effet, essayez autant que possible de passer au moins une nuit au sein de ces hébergements inédits. D’autant plus qu’il y en a sur pratiquement toutes les îles les plus prisées à l’instar de Tahiti bien évidemment. Il en est de même sur le lagon de Moorea, tout comme sur les lagons de la Perle du Pacifique Bora-Bora.

Un passeport valide

Vous aurez besoin de votre passeport pour voyager en Inde. Il faut un passeport encore valide 6 mois après la date de votre retour. Il devra aussi contenir au moins 3 pages vierges avec 2 pages côte à côte.

Le visa : 2 options

La possession d’un Visa Inde est obligatoire. S’il s’agit de vacances, vous aurez besoin du visa touristique. On l’appelle aussi e-Tourist Visa. Vous pouvez en faire la demande en ligne de deux façons selon le cas.
– Pour un séjour de 30 jours, vous pouvez faire la demande de votre e-Tourist Visa sur le site officiel. Pour cela, vous devez remplir le formulaire de demande, uploader une photo d’identité couleur 5×5 cm au format JPEG et régler le prix du visa. S’il est accordé, votre e-Tourist Visa vous sera envoyé par mail. La version imprimée doit être présentée au départ et à l’arrivée avec un billet aller-retour.
– Si vous voyagez en Inde pour plus de 30 jours, vous devez faire la demande du visa sur le site de VFS Global. Vous devez vous y prendre au moins 20 jours avant votre départ. Une fois obtenu, ce e-Visa sera valable pendant 6 mois.
Si vous voyagez avec vos enfants, ceux-ci devront également être en possession d’un passeport et d’un visa. Une fois sur le territoire indien, vous ne pouvez pas changer la nature de votre visa de départ.

Les vaccins

Sur le plan médical, aucun vaccin n’est obligatoire pour voyager en Inde. Par contre, il est conseillé de faire les vaccins classiques comme l’hépatite A et B, la diphtérie, la poliomyélite et le tétanos.

Restriction territoriale en Inde

Même si vous obtenez un visa pour passer un séjour en Inde, il ne vous permet pas de tout visiter. En effet, certaines parties du territoire comme les îles Laquedives, les îles Andaman, ou encore Sikkim font l’objet d’une restriction. Il faut une autorisation spéciale pour y avoir accès.

Les documents d’identité obligatoires

Vous avez besoin obligatoirement d’un passeport valide pour entrer sur le sol américain. Vous devez présenter un passeport biométrique ou un passeport à lecture optique. A noter que le passeport est un document individuel et chaque voyageur doit en posséder un, même les enfants. Votre passeport doit encore être valide 6 mois après votre sortie du territoire américain.
Vous devez également demander une autorisation ESTA. Il s’agit d’un formulaire à remplir pour contrôler votre entrée aux États-Unis. Elle remplace l’ancienne feuille verte et est obligatoire pour tous les pays exemptés de visa. L’Esta Visa est nécessaire pour tout séjour de moins de 90 jours. Si votre demande d’ESTA en ligne est validée, vous devez imprimer le formulaire pour le présenter à votre arrivée aux USA. Ce formulaire est valide pendant 2 ans.
Pour tous les autres pays ou pour tout séjour de plus de 90 jours, il faut un visa. Il existe plusieurs types de visas en fonction du motif de votre voyage : vacances, emploi, stage, etc.

Les autres documents utiles pour le voyage

Pour entrer en Amérique, vous devez avoir un billet d’avion aller-retour. Si vous souhaitez entrer par une autre voie, vous pouvez présenter un billet de croisière. Le gouvernement américain a besoin que vous prouviez votre sortie prochaine du territoire pour éviter les migrations clandestines.
Vous avez besoin de prouver que vous avez les moyens de payer votre séjour, de l’hébergement au transport, en passant par la restauration. Vous devez ainsi présenter une preuve de solvabilité, comme une carte de crédit ou un chèque de voyage.

Si vous voyagez sur le territoire européen

En cas de maladie pendant votre séjour en Europe, vous pouvez bénéficier du système de soins de votre pays de destination. Il vous suffit de présenter une carte. Celle-ci vous permettra de profiter d’une assurance-maladie et d’être prise en charge localement suivant la législation sociale en vigueur. Si vous n’avez pas de carte, il faudra bien conserver toutes les factures et les paiements pour pouvoir demander un remboursement à la caisse une fois arrivé en France. Lors d’un arrêt de travail durant le séjour, sachez que vous avez droit à des indemnités journalières. Il faudra présenter l’avis du médecin pour cet arrêt auprès de la Sécurité sociale du pays de destination. Cet organisme va ensuite envoyer des formulaires à votre caisse en France pour demander les indemnités.

En cas de maladie en dehors de l’Europe

La France a signé un accord avec un grand nombre de pays, dont Japon, Madagascar et Turquie. La liste des signataires est disponible sur le site du Cleiss. En effet, cette convention régit les droits des Français en cas de maladie pendant leur voyage sur ces territoires étrangers. En d’autres termes, les dépenses liées à leur santé sont prises en charge localement. Si vous voyagez dans un pays non-signataire de cette convention, il est possible d’être remboursé en cas de soins d’urgence ou de maladie inopinée. Le montant du remboursement est forfaitaire. Quoi qu’il en soit, la caisse d’Assurance-maladie peut vous refuser cette prise en charge. Dans ce cas, il faut conserver les factures et les dépenses relatives aux soins médicaux. Pour les États-Unis et Canada, la meilleure solution sera de souscrire une assurance ou assistance avant le départ prévu.

Documents et et information sanitaire

Si votre voyage au Mexique est de moins de 180 jours, vous n’avez besoin que d’un passeport valide pour entrer sur le territoire mexicain. Au-delà de cette période, vous devez demander un Visa. Avec le passeport, vous devez remplir et présenter à la frontière le formulaire migratoire ou FMM. Côté santé, il n’y a pas vraiment de risque au Mexique. Néanmoins, pour votre santé, il est déconseillé de boire l’eau du robinet durant votre séjour. Par ailleurs, il est recommandé de prendre une assurance avant le voyage, car les frais médicaux sont généralement chers dans ce pays. Par ailleurs, si jamais vous avez des problèmes de santé pendant votre séjour, il est possible que les hôpitaux refusent de vous soigner si vous n’avez pas une assurance ou un contrat d’assistance permettant de couvrir vos frais de soins, de rapatriement ou d’hospitalisation. Avant votre départ, il est préconisé d’effectuer quelques vaccins, notamment les vaccins contre la fièvre typhoïde, l’hépatite A et B, ROR, DTP et la tuberculose pour les enfants. Si vous prévoyez de passer un séjour dans des zones rurales, le vaccin contre la rage est recommandé.

Les visites à faire

À Mexico, vous aurez l’occasion de découvrir le centre historique et sa beauté architecturale. Ce site est classé Patrimoine mondial de l’Humanité. Vous pouvez aussi faire un tour au site archéologique de Teotihuacan : il est vraiment impressionnant. Il y a également le Puebla de Los Angeles : ses jolies façades montrent une architecture coloniale. Vous pouvez ensuite aller admirer la magnifique ville de Guanajuato : elle est aussi classée dans le patrimoine mondial de l’UNESCO. Si vous voulez voir les trésors des vallées centrales, ne ratez pas non plus Oaxaca. Outre Puebla et Oxaca, n’oubliez pas la visite des sites archéologiques majeurs de Monte Alban et d’El Tajin. Ce dernier est connu pour ses pyramides et ses terrains de jeux de balle. D’autres sites comme San Cristobal de Las Casas, Yaxchilan et Bonampak valent aussi le détour. Durant votre passage au Mexique, ne manquez pas la péninsule du Yucatan, la Sierra Tarahumara et le site maya de Chichen Itza. Au-delà des sites touristiques à voir, prenez le temps de déguster les spécialités culinaires du Mexique.

Quand vous avez pour projet de partir en vacances à l’étranger, on vous conseille toujours de préparer un devis des dépenses en prenant en compte la valeur du change. Pour certains, ce n’est qu’un caprice venant des experts. Cependant, cette démarche revêt des questions de sécurité et sera le gage de la modicité de votre projet.

Pour payer moins cher son voyage

Certes, si vous manquez de liquidité alors que vous êtes à l’autre bout du monde, vous pouvez toujours demander un virement. Les différentes enseignes de banques se sont implantées dans plusieurs pays. Ceci peut vous paraître pratique, mais c’est sans compter sur les délais de positionnement des fonds en question. Les demandes de liquidité dans les pays étrangers prennent plus de temps et coutent également plus cher. Les établissements financiers majorent leur tarif en fonction de votre destination.
En outre, en prenant en compte la valeur de la monnaie de votre pays de destination vous permettra de garantir votre sécurité. Vous aurez la possibilité de tout faire, sans avoir peur en permanence de manquer de fond et de vous retrouver en conflit avec les prestataires de la région.

Comment bien faire le calcul ?

Pour les moins expérimentés dans l’établissement de budget, la solution la plus facile serait de préparer des fonds pour des dépenses journalières avant de faire un total du devis. Pour les imprévus, vous devez réserver 10 % de la somme. Pensez aux locations de moyens de locomotion et aux frais nécessaires pour les attractions payantes.
Selon vos envies, vous pouvez calculer directement avec la monnaie nationale ou faire le pifométrage en euros avant de changer. Il importe de souligner que la valeur du marché fluctue assez rapidement. Ainsi, une dernière vérification avant d’embarquer est de mise.
Pour des raisons de sécurité, on ne conseille pas de faire le change avant le décollage. Ainsi, s’il vous manque des fonds, vous aurez encore la possibilité de faire des retraits auprès des DAB de votre région. Il ne reste plus alors qu’à classer le budget en fonction des besoins quotidiens pendant les vacances.